Au secours, je dois écrire mon bilan BAFD mais je suis perdu·e !

Aujourd’hui, j’avais envie de commencer direct avec un sujet qui fâche… J’ai nommé : le bilan BAFD ! Mais c’est aussi pour te présenter ce que nous pouvons te proposer pour t’aider à l’écrire (si tu veux aller voir ça directement, tu peux cliquer ici).

Il y a quelques jours, j’ai interrogé des stagiaire en perfectionnement (le deuxième stage théorique de la formation). Je leur ai demandé quel mot leur venait instinctivement quand on leur disait « bilan BAFD »… Eh bien je peux te dire que ça n’a pas été très motivant ! Au mieux : « stress » et au pire : « angoisse et terreur ».

Personne qui a peur du bilan BAFD

Si tu n’as pas encore passé de BAFD (mais que tu y penses), lire ces quelques mots va peut-être allumer une alarme de danger dans ta tête… Je te rassure, je ne suis pas là pour te faire peur, promis. Je voulais justement creuser un peu la réputation du bilan BAFD. Pour essayer d’expliquer pourquoi il fait tellement flipper. Parce que c’est bien connu, c’est quand on ne connaît pas quelque chose (ou quelqu’un·e) qu’on en a peur.

Du coup, je te propose d’aller rencontrer en direct… Bilan BAFD ! Non, je n’ai pas oublié de mot : j’ai décidé de le personnaliser. Je me suis imaginée en train de l’interviewer, histoire de le rendre un peu plus humain. J’espère qu’à la fin de ta lecture, tu seras un peu moins stressé·e. Et que tu comprendras mieux le pourquoi du comment.

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Les questions posées à Bilan BAFD

Interview de Bilan BAFD

Elisa : Bonjour Bilan BAFD, peux-tu te présenter en quelques mots pour ceux et celles qui ne te connaissent pas ?

Bilan BAFD : Bonjour, je voulais commencer par dire que je suis ravi d’être ici avec toi ! La plupart du temps les gens évitent de parler de moi. J’en connais même qui me fuient, visiblement je leur fait peur. Même si j’ai l’impression que ce n’est pas vraiment ma faute… mais j’imagine qu’on va parler de ça après ! Donc, pour me présenter en quelques mots, je suis un document que chaque candidat ou candidate au Brevet d’Aptitude aux Fonctions de Direction (BAFD) doit rédiger à la fin de son cursus. C’est en fait la 5ème étape de la formation, après deux stages théoriques et deux stages pratiques.

Je dois être envoyé au ministère chargé de gérer la formation BAFD… en ce moment c’est l’Éducation Nationale. Mais je te propose qu’on dise « Jeunesse et Sport » – ou « JS » pour les intimes – parce que c’est plus simple, vu que ça change toutes les deux minutes.

On ne sait jamais si la branche va dépendre d’un ministère, d’un secrétariat, d’un sous-secrétariat, de rien du tout… Enfin, ce n’est pas le sujet. Pardon, j’ai tendance à digresser.

Donc je disais que je dois être envoyé à JS où je serai lu par un jury régional, qui validera le cursus de la personne… ou pas. C’est en fonction de mon contenu, de ce que la personne a écrit que le jury se positionnera.

Plume d'écriture

Ah oui, donc en fait tu représentes un sacré morceau de la formation BAFD. c’est toi – et uniquement toi – qui pèse dans la balance pour la validation du BAFD. J’imagine que du coup les candidat·es ne se sentent pas super à l’aise face à toi ?

C’est une des difficulté justement, et je t’avoue que parfois je me sens un peu seul… Quand une personne doit me rencontrer, m’écrire et me remplir, ça se fait souvent dans la douleur ou dans la peine. Il faut dire que JS n’est pas très sympa : ils demandent à des personnes de terrain d’écrire un sacré document. Sachant que certaines de ces personnes n’ont pas écrit depuis longtemps et/ou ne sont pas forcément à l’aise avec l’écrit. On n’a pas vraiment besoin de savoir écrire pour faire de l’animation, ou bien ?

Ok, pour faire de la direction, c’est nécessaire d’être un peu plus à l’aise avec l’écriture. Mais faire peser la validation de la personne uniquement sur un écrit, c’est vraiment pas chouette. Il y a deux trucs qui me gênent en plus, et dont la plupart des personnes n’ont pas conscience. D’abord je suis un exercice qu’on pourrait qualifier « d’anti-scolaire », ce qui me rend difficile. Et en plus, les personnes ne sont pas du tout accompagnées dans mon écriture. Elles se retrouvent la plupart du temps toutes seules face à leur feuille blanche. C’est un peu anxiogène du coup !

Personne toute seule

Donc tu te qualifies toi même, bilan BAFD, « d’exercice anti-scolaire » . Tu peux nous en dire plus là-dessus ?

Ouais, je t’avoue qu’à force d’être face à des gens en difficulté, j’ai un peu de mal avec ma propre image. Soyons francs, je suis et je resterai à jamais un exercice. Un truc que les personnes feront une fois dans leur vie… Et seulement parce qu’elles sont obligées. Elles ne referont plus jamais à moins d’être ajournées et de devoir me réécrire. Ce qui me chagrine, c’est que s’il n’y avait pas autant de pression et d’incompréhension, je pourrais être un exercice intéressant !

Pour le côté « anti-scolaire », pour le coup je trouve ça plutôt chouette… J’ai jamais vraiment aimé l’école tu sais. L’idée principale, dans ma rédaction, c’est d’amener la personne à relire son parcours de formation BAFD et à analyser sa pratique. Et ça, je trouve ça hyper pertinent ! En plus, devoir écrire, c’est vraiment aidant dans le processus d’analyse.

Qui prend vraiment le temps pour se retourner, observer ce qu’iel a fait dans le passé ? Pour décortiquer chaque action afin de comprendre ce qui l’a amené·e d’un point A à un point B ? On est d’accord, c’est fastidieux… Mais en même temps, ça t’apprend vachement sur qui tu es et comment tu as évolué. Voir ça, c’est génial ! Et moi, bilan BAFD, je permets ça, c’est quand même top, non ?

Personne qui passe son bilan BAFD et le réussit

Ah oui, je vois que ça t’emballe…

Mais grave ! En fait, ce qui m’énerve, c’est que mon contenu n’est pas du tout clair pour les candidat·es. Justement, cette histoire de relire son parcours et de l’analyser, beaucoup de personnes ne comprennent pas ce que c’est. Et du coup, c’est hyper bloquant… En plus, je n’ai pas besoin de te parler pas de la mauvais réputation que je traîne. Le truc, c’est que dans le cursus de formation BAFD, il n’y a aucun vrai espace pour moi. J’arrive après tous les stages !

Du coup, quand on parle de moi en perfectionnement BAFD (le deuxième stage théorique), je suis encore très vague, pas du tout concret. Les stagiaires doivent encore passer leur deuxième stage pratique. Pour certain·es ce sera plusieurs mois après le perfectionnement. Donc, quand les équipes de formation parlent de moi, ça ne parle pas vraiment aux stagiaires, je suis très lointain.

Sans parler de tous ceux et toutes celles qui sont déjà tellement flippé·es, qu’iels évitent de penser à moi. Iels se disent que j’arriverai déjà bien assez tôt. Conclusion, il n’y a pas vraiment d’espace-temps dans la formation pour expliquer en quoi je peux VRAIMENT être intéressant… Et pas juste un truc chiant ou angoissant. Snif, ça me désole vraiment.

Oui, je vois ça… mais justement, bilan BAFD, on est là pour que tu puisses parler de toi. et essayer d’expliquer en quoi il ne faut pas avoir peur de toi. Si les gens apprennent à te connaître et comprennent à quoi tu sers, iels seront sûrement plus motivé·es pour t’écrire.

Merci d’essayer de me consoler, c’est gentil. En fait, c’est ce que je te disais avant : je suis l’occasion unique de relire son expérience de terrain. A partir du moment où la personne qui écrit a saisi comment faire pour analyser son parcours, ça devient plutôt facile. Un peu comme une recette de cuisine qui nécessite de maîtriser un coup de main, mais qui ensuite est aisée à refaire.

Ce qui est difficile, c’est qu’à l’école les élèves n’apprennent pas à analyser. Du coup, c’est une notion qui n’est pas évidente à comprendre. Dans ma rédaction, il est demandé des trucs inhabituels. Déjà d’écrire à la première personne du singulier et ensuite de ne surtout pas faire de généralités. Grosso modo, c’est exactement l’inverse de ce qui est demandé à l’école. Je me dis que ça devrait plaire à ceux et celles qui n’ont pas trop aimé l’école justement.

Mais comme je le disais aussi au début, il y a une telle pression sur ce bilan que, forcément, ça fait flipper les candidat·es. Et qu’en plus, iels ne peuvent pas vraiment être accompagné·es.

Personne triste

Si je te suis, c’est parce que le cursus de la formation BAFD ne le permet pas, c’est ça ?

Exactement. En fait, chaque stage est complètement indépendant des autres. Un·e candidat·e peut très bien avoir fait son stage de formation générale dans un organisme de formation A. Puis un stage pratique chez un organisateur B. Ensuite Son stage de perfectionnement dans un organisme C. Et pour finir son deuxième stage pratique avec un organisateur C… eh non, D. Je m’embrouille moi-même. Bref, tu as compris le principe. Un·e stagiaire peut passer d’une structure à une autre, sans aucun lien entre elles, tout au long de son parcours.

Sauf que personne dans toutes ces structures n’a d’obligation à aider la personne pour la 5ème étape de la formation : moi, le bilan BAFD ! C’est au bon vouloir de ceux et celles qui sont présent·es autour du candidat·e. Certaines personnes pourront se faire accompagner par leur coordo. D’autres auront des formateurs et formatrices BAFD dans leur entourage pour les aider (c’est ton cas, non ?). Enfin, certains organismes de formation proposent des accompagnements.

Mais pour d’autres, ce sera la grande solitude. J’ai même entendu une stagiaire expliquer que sa coordo ne voulait pas jeter un œil à son bilan pour lui donner son avis. Forcément, ça la mettait en panique. Rajoute à ça l’incompréhension, le malaise face à la feuille blanche, l’enjeu de réussir sa formation… vas-y le combo explosif quand même !

Image d'explosifs

Oui, je me souviens bien quand j’ai écrit mon bilan… j’étais bien contente d’avoir un formateur BAFD pour me relire et m’accompagner, même si ça ne m’a pas empêché d’être ajourné·e. Ça me fait penser qu’on n’a pas encore évoqué cette question de l’ajournement, qu’est-ce que tu en penses ?

Si je me mettais en mode drama-queen, je dirai « quel grand malheur ! » avec des trémolos dans la voix et plein de sanglots en arrière fond. Bon, désolé, je ne veux pas froisser tes lecteurs et lectrices, parce qu’en vrai ça peut être un vrai traumatisme. Je ne voudrais pas qu’iels croient que je me moque.

Donc, juste pour contextualiser, quand un·e candidat·e me dépose auprès de JS, je suis donc lu par un jury régional. Il est composé de 2 personnes différentes, la plupart du temps un·e représentant·e de JS et un·e représentant·e d’un organisme de formation. Ces personnes ont ensuite plusieurs possibilités : valider le ou la candidat·e (on dit qu’iel est « reçu »), le refuser (ça veut dire que c’est mort) ou l’ajourner. Un ajournement, ça revient à dire : pour l’instant, ce bilan BAFD en l’état ne suffit pas au jury pour valider la formation…

Il va donc être demandé la personne de compléter son premier bilan. Pour cela, le jury dispose de plusieurs options : faire passer un oral, demander de réécrire une partie du bilan, demander de réécrire tout le bilan. A savoir que chaque région, en fonction de son histoire et son organisation, a une préférence (ou une obligation) pour l’un ou l’autre de ces ajournements.

Personne qui cherche la bonne direction

Attend, attends, tu veux dire qu’en fonction des régions, ça ne se passe pas pareil ?

Exactement. Mais pas la peine de se mettre la rate au court bouillon pour ça, comme dit mon amie Michelle, parce que tu ne peux pas vraiment choisir ta région… Sauf à déménager. Et puis ce n’est pas parce que certaines régions ont des habitudes que ça veut dire quelque chose. Par exemple en Ile de France, la tradition veut le passage d’un oral pour quasiment tous les stagiaires. Ce n’est pas forcément plus simple pour eux qu’ailleurs. Bon je t’accorde qu’avec les grandes régions, il y a des endroits où c’est devenu vraiment chaud. Comme par exemple dans le Grand Est où le seul ajournement possible, c’est la réécriture complète du bilan… pas de demi-mesure dans cette région, j’avoue.

Pour bien comprendre cette histoire d’ajournement, je reprends mon déroulé : le ou la candidat·e me dépose auprès de JS, je suis lu par le jury qui donne son avis. L’ajournement, ça veut donc dire « tout n’est pas perdu ». Je sais que ce n’est souvent pas vécu comme ça, mais déjà comme un échec par la personne.

Par contre, le jury ne peut prononcer un ajournement qu’après ce premier passage. Ce qui est raide, c’est que si la deuxième présentation du bilan ou l’oral ne sont pas considérés comme satisfaisant, ce sera forcément un refus. La personne devra donc recommencer sa formation BAFD depuis le début.

Personne qui dit non

C’est sûr que de devoir recommencer depuis le début, c’est déprimant.

Ouais, ce n’est vraiment pas cool. C’est sûr que la personne qui recommence depuis le début va forcément être traumatisée de devoir me réécrire. Sans parler de la remise en question de ses compétences, de sa capacité à diriger… Alors qu’en fait ça n’a tellement pas de rapport. Elle a sûrement juste mal compris l’exercice que je suis. Encore un truc qui me désole.

Ce qui est vraiment pénible avec JS, c’est qu’après un ajournement les retours sont franchement pas aidant. Au mieux, c’est trois lignes très généralistes. Au pire, dans certaines régions, il faut directement appeler JS pour avoir des éléments. Si le ou la candidat·e n’appelle pas, iel n’aura aucune explication.

Si on lui demande de réécrire son bilan BAFD en entier par exemple, comment veux-tu qu’elle sache quoi faire ? Par où repartir ? Elle va forcément se demander si tout ce qu’elle a écrit est à jeter ou si certains exemples sont pertinents… Ha, cette fois-ci ça m’énerve ! Même en parlant de moi, je me mets dans des états pas possibles, alors j’imagine les stagiaires…

Finalement, on en revient au fait que la personne se retrouve seule face à son bilan BAFD.

Oui. Si elle n’a pas pris le temps de s’entourer ou qu’elle n’a personne autour d’elle qui puisse l’accompagner, elle se retrouve clairement seule. Je n’ai fait que l’évoquer, mais l’ajournement peut vraiment être vécu comme un traumatisme. Cela peut remettre en question leur vision d’eux-même, en profondeur. Bonjour, syndrome de l’imposteur ! Ces personnes se demandent si elles sont vraiment capables de diriger, si elles ne sont pas arrivées là par hasard et qu’on leur a donné leur validation de stages théoriques et pratiques par complaisance.

Bref, j’ai déjà vu des personnes qui adorent leur boulot et en plus le font bien être ébranlées par la décision du jury… Qui bien sûr, ne mettra jamais les formes pour annoncer la choses. A se demander si on est autre chose qu’un numéro pour JS ?

Personnes qui se posent des questions sur leur bilan de formation BAFD

Mais alors, qu’est-ce que tu conseillerais à un·e candidat·e qui doit écrire son bilan BAFD ?

Si je n’avais qu’une seule phrase, ce serait : ne reste pas seul·e ! Bon, aussi, ne commence pas au dernier moment pour m’écrire… Sinon c’est clair que la pression sera au max. Essaye de commencer à écrire rapidement après ton deuxième stage pratique, même si ça te fait chier / te stresse / te fait peur / tout ça en même temps.

En termes de ressources, les premières à consulter sont celles de JS. N’hésite pas à taper « DRAJES + BAFD + nom de ta région » dans un moteur de recherche pour avoir toutes les infos. Tu y trouveras les dates de jury, ce qu’il faut rendre exactement comme documents, sous quelle forme etc. Certaines régions proposent aussi des aides, comme le dossier de l’ex-région Champagne-Ardennes ou le tableau de la région Grand-Est.

Personnes qui s'entrainent

Une fois que tu as commencé à écrire ou même pour t’aider à commencer, ne reste pas seul·e. Moi, je te conseillerai vraiment de te faire accompagner. Il y a plusieurs manières de se faire aider : tu peux déjà aller voir si l’organisme de formation où tu as passé tes stages théoriques propose quelque chose. Parfois les organisme de formation proposent un accompagnement gratuit pour l’écriture de ton bilan, avec une relecture de tes écrits. Ça peut être aussi tes anciens formateurs et formatrices ou des collègues ayant déjà leur BAFD.

Et je ne peux que te recommander les services proposés par Parlons Péda qui m’invite aujourd’hui pour cette interview exclusive.

Haha merci pour la pub, c’est vrai qu’on propose une formation gratuite de 6 jours pour aider les stagiaires BAFD à écrire leur bilan.

Oui, le lien d’inscription est directement en bas de cet article. Faut dire que ce n’est pas tous les jours que je me fait inviter et même humaniser pour défendre qui je suis, alors il faut bien que je renvoie un peu l’ascenseur !

Si tu veux en savoir un peu plus sur la formation gratuite, tu peux aller voir la page de présentation de la formation. Elisa et Hugo proposent aussi une formation en ligne dédiée à l’écriture du bilan BAFD et des accompagnements individuels. Toute les infos sont sur cette page.

Personne en train d'écrire son bilan bafd

Après ce quart d’heure de pub, je voulais simplement te remercier d’avoir partagé avec nous qui tu étais et ce qui faisait de toi un (presque) monstre du placard.

Eh ho, ne le dis pas trop fort, tu vas encore aggraver ma mauvaise réputation. Promis, je suis gentil et on peut vraiment me comprendre et me dompter ! La clé, c’est l’analyse, une fois que tu as compris le concept, le reste vient tout seul. En tous cas, merci pour cette interview et peut-être à bientôt pour une prochaine ! Et plein de courage et d’énergie positive à tous ceux et toutes celles qui sont en cours de rédaction de leur bilan BAFD…

Pingouin motivé

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Moussa Diouf
Moussa Diouf
28 novembre 2021 18h56

Bonjour, j’ai bien aimé cet article, félicitations à l’équipe. Par chez nous autres au Sénégal, nous ne sommes pas obligés de faire 2 stages théoriques et pratiques. Nous faisons u. Stage théorique de onze jours en internant et vingt un jours stage pratique, sanctionné par des notes, ensuite nous faisons un examen écrit. A la suite de cela, le candidat est déclaré admis ou ajourné pour l’année prochaine.

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